
QVT et bien-être au travail, quel lien ? Quelle différence ?
On confond facilement le concept de Qualité de Vie au Travail (QVT), les actions qui peuvent être engagées dans le cadre d’une telle démarche et le bien-être au travail.
Le bien-être au travail est-il une finalité, un objectif à atteindre ou une conséquence positive d’une démarche QVT, inscrite dans le projet d’entreprise et déclinée à tous ses étages ?
Suffit-il de mettre à disposition, un babyfoot, une corbeille de fruits fais et des cours de sport pour parler de démarche QVT ?
La capacité d’expression et d’action, recouvre les espaces d’échanges et de décisions qui s’appuient sur un management du travail participatif et permettent à ceux qui exercent l’activité de s’exprimer et d’agir sur le contenu de leur travail.
Le bien-être au travail est donc associé à la perception de la qualité de vie au travail. Il est une conséquence directe d’une réelle démarche QVT systémique qui donne du sens au travail réalisé et le sentiment du « travail bien fait ». Cette démarche doit s’inscrire et se décliner dans les pratiques managériales et un environnement organisationnel qui permet aux salariés de s’exprimer et agir sur le contenu de leur travail.
Des études montrent que le bien-être au travail a une incidence sur la performance économique de l’entreprise en diminuant l’absentéisme et en favorisant l’engagement et la motivation. Il s’agit donc dans un premier temps de mener une démarche de Qualité de Vie au Travail, pour créer le plaisir du travail bien fait et bénéficier des effets du bien-être au travail sur la performance de l’entreprise.
Pour Yves Clot, le plaisir du « travail bien fait » est la meilleure prévention contre le « stress » : il n’y a pas de « bien-être » sans « bien faire ».
(Source : Le travail à cœur, Pour en finir avec les risques psychosociaux. Yves Clot, Editions la Découverte)
Le bien-être au travail est-il une finalité, un objectif à atteindre ou une conséquence positive d’une démarche QVT, inscrite dans le projet d’entreprise et déclinée à tous ses étages ?
Suffit-il de mettre à disposition, un babyfoot, une corbeille de fruits fais et des cours de sport pour parler de démarche QVT ?
Il existe plusieurs définitions de la QVT :
On peut retenir celle de l’ANI en juin 2013 (Accord Interprofessionnel sur l’Egalité Professionnelle et la Qualité de Vie au Travail) sur les préalables à la perception de la QVT : « les conditions dans lesquelles les salariés exercent leur travail, et leur capacité à s’exprimer et à agir sur le contenu de celui-ci, déterminent la perception de la qualité de vie au travail qui en résulte. »
Source ANACT
La capacité d’expression et d’action, recouvre les espaces d’échanges et de décisions qui s’appuient sur un management du travail participatif et permettent à ceux qui exercent l’activité de s’exprimer et d’agir sur le contenu de leur travail.
Le bien-être au travail est donc associé à la perception de la qualité de vie au travail. Il est une conséquence directe d’une réelle démarche QVT systémique qui donne du sens au travail réalisé et le sentiment du « travail bien fait ». Cette démarche doit s’inscrire et se décliner dans les pratiques managériales et un environnement organisationnel qui permet aux salariés de s’exprimer et agir sur le contenu de leur travail.
Des études montrent que le bien-être au travail a une incidence sur la performance économique de l’entreprise en diminuant l’absentéisme et en favorisant l’engagement et la motivation. Il s’agit donc dans un premier temps de mener une démarche de Qualité de Vie au Travail, pour créer le plaisir du travail bien fait et bénéficier des effets du bien-être au travail sur la performance de l’entreprise.
Pour Yves Clot, le plaisir du « travail bien fait » est la meilleure prévention contre le « stress » : il n’y a pas de « bien-être » sans « bien faire ».
(Source : Le travail à cœur, Pour en finir avec les risques psychosociaux. Yves Clot, Editions la Découverte)